CLIMATE & GENDER
Justice Climatique et de Genre

DAR ES SALAAM, Tanzanie
DU 27 AU 29 SEPTEMBRE 2024

Background & Context

En 2013, Prospera INWF et GGF (Global Greengrants Fund) ont créé une alliance pour rassembler les fonds environnementaux et les fonds pour les femmes, ainsi que les militant.e.s pour la justice climatique et les droits des femmes. L'objectif était de partager des stratégies entre les mouvements et de construire des relations durables. Après une année de préparation, en 2014, nous avons organisé conjointement un sommet sur les femmes et le climat à Bali. Ce rassemblement a donné lieu à des tendances importantes dans notre domaine : il était essentiel de consolider la GAGGA (Global Alliance for Green and Gender Action) ; la recherche conjointe GGF et Prospera achevée en 2018 sur le financement au cœur de l'action environnementale des femmes (Nos Voix, Notre Environnement) ; et de nombreux articles dans les médias, des études de cas et une prise de conscience générale des liens entre le genre et la justice environnementale. Le New York Times a publié deux articles sur le sommet, et le financement de cette intersection a commencé.

L'opportunité

Étant donné le dixième anniversaire du sommet de Bali cette année, et coïncidant avec la biennale de Prospera, GGF, Prospera et GAGGA ont produit une analyse des tendances et des données de financement relatives à l'intersection du genre et de l'environnement. Les résultats indiquent clairement que très peu de fonds sont consacrés à ce travail (50 millions sur 4,1 milliards) et que la plupart des subventions sont accordées par des fonds publics (y compris les membres de Prospera et du GGF). Il faut donc accorder beaucoup plus d'attention à la pertinence politique et à l'urgence de la question, ainsi qu'à la nécessité de consacrer davantage de ressources financières, humaines et politiques à la justice environnementale et de genre. Ce sommet permettra d’accroitre l’élan, de générer une volonté politique, de clarifier les concepts parmi les participant.e.s et d'exploiter des objectifs et des stratégies communs en vue d'une action collective.

Qui sommes nous

Le GGF (Global Greengrants Fund) est l'un des principaux bailleurs de fonds de la justice environnementale au niveau local dans le monde, avec un réseau de 27 conseils consultatifs comprenant plus de 230 militant.e.s qui soutiennent les efforts communautaires pour protéger la planète et les droits des personnes.

Est un réseau politique mondial de 48 Fonds féministes et pour les femmes audacieux, intersectionnels, diversifiés et autonomes qui favorisent la transformation en soutenant et en accompagnant les mouvements menés par des femmes, des filles, des personnes trans, intersexuées et non binaires, et des collectifs principalement dans le Sud et l'Est du monde.

La GAGGA est un réseau diversifié de fonds pour les femmes, de fonds pour la justice environnementale, d'organisations non gouvernementales (ONG) et d'organisations communautaires dirigées par des femmes qui unissent leurs forces pour garantir les droits des femmes à l'eau, à la sécurité alimentaire et à un environnement propre, sain et sûr en ralliant le pouvoir collectif des mouvements pour le genre, le climat et la justice environnementale dans le monde entier.

Qui allons-nous réunir?

  • Fonds féministes et pour les femmes
  • Les fonds socio-environnementaux
  • Des philanthropes privés
  • Les réseaux de pairs et organisations alliées
  • Des organisations de plaidoyer mondiales réputées
  • Des militants des différentes régions du monde (y compris des représentant.e.s de l'Afrique de l'Est et de la Tanzanie en particulier)
  • Des experts en matière de genre et d'environnement
  • Les leaders d'opinion et les représentant.e.s stratégiques des gouvernements
  • Des alliés au sein des gouvernements donateurs
  • Les objectifs du sommet

    Construire un dialogue vers un récit collectif politique aligné pour la justice climatique et de genre du point de vue des pays du Sud.

    Élaborer un communiqué qui fait progresser l’action en matière de genre et de justice climatique dans le contexte actuel.

    Se mettre d’accord sur les moyens de faire avancer le communiqué et de l’utiliser comme outil d’organisation et de plaidoyer pour les années à venir.

    Donner aux bailleurs de fonds une vision différente de quoi, qui, où et comment ils doivent faire pour financer des actions sur ces questions.

    La méthodologie générale

    Ce Sommet a été conçu comme une réunion de travail. Nous aurons quelques séances plénières, mais la plupart du temps, les participants seront répartis en cinq « groupes de travail thématiques » simultanés développés sur la base des commentaires des participants à travers l'enquête et les entretiens. Chaque groupe de travail thématique aura un facilitateur, un preneur de notes et des coprésidents. Tout au long du Sommet, les animateurs s'efforceront d'articuler le travail des cinq thèmes pour soutenir l'objectif de créer un communiqué collectif qui pourra ensuite être poursuivi par les participants de différentes manières.

    Groupes de travail sur les thèmes

    La défense des biens communs (terres, océans et territoires)

    Les « biens communs » désignent les territoires accessibles à tout le monde, conservés et gérés collectivement pour être utilisés par les générations présentes et futures, y compris les terres, les forêts, les océans et autres plans d'eau. Ces ressources sont confrontées à des menaces croissantes d'enfouissement et d'extinction dues aux activités capitalistes destructrices telles que la privatisation, l'extraction, les accaparements de terres, la pollution et la déforestation, entre autres. La charge de la défense des biens communs pèse de manière disproportionnée sur les femmes et les groupes marginalisés, y compris les communautés autochtones, qui sont également les plus impacté·e·s par leur destruction tant dans leur travail rémunéré qu'en non rémunéré. 

    Questions:

    1. Que doit-on faire à l'échelle locale et mondiale pour prévenir la destruction continue des biens communs, et ainsi alléger la charge pesant sur les femmes pour les protéger? 
    2. Que doit-on faire pour transformer les systèmes économiques mondiaux afin d'améliorer les conditions de vie des femmes? 
    3. Quels sont les principaux défis pour financer le travail transformateur de défense des biens communs?

    La souveraineté alimentaire et transformation des économies rurales dans les pays du Sud.

    Historiquement, la nourriture a joué un double rôle : d'une part, elle est une nécessité fondamentale de la vie humaine, et d'autre part, elle peut être un catalyseur potentiel de transformation économique. La production alimentaire à des fins commerciales a joué un rôle clé dans les moyens de subsistance et le développement des économies depuis des milliers d'années. Aujourd'hui, les petits exploitant·e·s agricoles gèrent 60 % de la production alimentaire mondiale et 80 % des terres arables totales, pourtant ils et elles sont parmi les personnes les plus pauvres de la planète. Par le biais des règles commerciales et des accords construits autour de l'Organisation mondiale du commerce (OMC), les entreprises multinationales ont monopolisé le commerce alimentaire et ont sous-évalué les petits exploitant·e·s agricoles. Grâce à ces mêmes outils, l'espace politique et les revenus domestiques des États du Sud ont été amputés, et les petits exploitant·e·s agricoles et pêcheur·se·s ont largement été laissés à eux-mêmes. Cela a eu des effets dévastateurs en termes de pauvreté généralisée et d'insécurité alimentaire, ainsi que de changement climatique : les entreprises multinationales qui tirent des profits disproportionnés du commerce alimentaire ont pu perpétrer des accaparements de terres dans les zones rurales qui ont désespérément besoin d'un stimulus économique. Les économies rurales doivent se transformer pour résoudre les problèmes conjoints de l'insécurité alimentaire et de la pauvreté généralisée, ainsi que certaines des plus fortes inégalités de genre au niveau mondial. 

    Questions:

    1. Que faut-il faire pour transformer le système alimentaire mondial et autonomiser les petits exploitant·e·s agricoles et les pêcheur·se·s? 
    2. Comment la transformation du système alimentaire peut-elle réduire les charges inégales de travail de soins sur les femmes rurales?  
    3. Quels domaines liés à l'économie rurale doivent être financés?

    La transition énergétique, minéraux critiques et transformation économique dans les pays du Sud.

    La priorité donnée au profit plutôt qu’à la nature a non seulement créé la crise climatique, mais a également tenté de la transformer d'une menace existentielle en une opportunité économique, provoquant ainsi une inégalité économique mondiale qui se reflète dans des « fausses solutions » climatiques. Cette poussée vers une « transition juste » à travers les énergies renouvelables et les « minéraux critiques » a créé un nouveau terrain de jeu pour les multinationales et autres intérêts privés puissants. Les pays du Sud, notamment en Afrique et en Amérique Latine, sont la source de vastes gisements de minéraux critiques et de combustibles fossiles - essentiels à la fois pour permettre les transitions énergétiques renouvelables et pour financer le développement économique dans le Sud. Ces sources de richesse sont principalement contrôlées et extraites par des multinationales basées dans le Nord, sans impact positif sur les capacités ou les besoins domestiques. Cependant, si elles sont correctement exploitées, financées et régulées par des États actifs, elles pourraient potentiellement contribuer à des économies équitablement transformées et résilientes et offrir des opportunités d'amélioration des conditions de vie pour le Sud global.

    Questions

    1. Comment la transition énergétique, y compris l'accès des femmes à l'énergie, peut-elle améliorer les conditions de vie en milieu rural?
    2. Les minéraux critiques peuvent-ils soutenir les processus de développement souverain dans le Sud global?
    3. Que manque-t-il dans les travaux sur les minéraux critiques et la transition énergétique, et quelles sont les stratégies pour financer ces domaines?

    Le financement de la lutte contre le changement climatique: une question de justice.

    Alors que le changement climatique s'aggrave rapidement, entraînant des impacts sociaux et environnementaux dévastateurs qui exacerbent les inégalités de genre, les besoins en matière de perte et de dommage, ainsi que les besoins d’adaptation et d’atténuation des pays du Sud global, sont énormes. Les estimations du fardeau financier créé par l'urgence climatique dans le Sud global montrent que les dépenses nécessaires dépassent largement les totaux combinés de l'aide publique au développement, du financement concessionnel et de l'aide au développement, et sont à peu près équivalentes à ce qui est actuellement dépensé pour le service de la dette. Cette injustice s'ajoute à une responsabilité nettement inégale en matière d'émissions, les pays industrialisés avancés poursuivant ces schémas tout en retenant les compensations financières pour la dette climatique historique. Il ne semble pas que le Fonds pour les pertes et les dommages, bien qu'historique dans sa création, sera opérationnalisé suffisamment rapidement pour tenir les promesses qui lui sont associées. 

    Questions

    1. Quelles sont les stratégies pour un financement climatique sans endettement? 
    2. Comment les États du Sud global peuvent-ils s'appuyer sur leurs propres ressources pour financer les investissements climatiques et sociaux nécessaires? 
    3. Comment pouvons-nous renforcer et financer le travail inter-mouvements autour des questions climatiques, de genre, de dette et de justice commerciale?

    La prise en charge et l'interdépendance des communautés en première ligne face au climat

    Les communautés en première ligne, y compris les défenseur·euse·s des droits des femmes, les défenseur·euse·s de l'environnement et des droits humains, affrontent les États, les multinationales et les politicien·ne·s au pouvoir pour essayer de faire une différence face à des crises multiples et croisées. Elles portent le fardeau de ce travail tout en étant confronté·e·s à des menaces sur leur vie, leur travail et leurs moyens de subsistance dans un espace civique de plus en plus restreint ou fermé. Pour soutenir leurs combats continus, eux-mêmes, leurs communautés et les terres, les océans et les territoires où ils vivent, ces activistes créent des réseaux de soutien, de sécurité et de protection. Le coût physique et mental de ce travail est énorme, mais il est souvent pris à la légère par les bénéficiaires de ce travail ou par celles et ceux en dehors de leurs communautés, et surtout par les bailleur·euse·s de fonds. Cela invalide l'interdépendance entre les peuples et les écosystèmes, et invisibilise le travail émotionnel fourni de manière disproportionnée par les femmes. Le travail de soin est et a toujours été au cœur de la résistance menée par les communautés, ce qui est plus nécessaire que jamais, mais il doit être redistribué entre les familles, l'État et le marché. 

    Questions

    1. Comment le soin est-il lié à la durabilité écologique et aux alternatives au modèle économique inégalitaire actuel? 
    2. Quelles sont les stratégies pour financer et provisionner ce travail comme une partie nécessaire de l'activisme continu?

    Tous les thèmes prendront également en compte des questions transversales telles que la mobilisation des ressources, la résilience et l'adaptation, les pertes et dommages, l'atténuation et la réponse aux catastrophes, ainsi que la justice économique.

    L’agenda du Sommet

    *Un dîner de bienvenue sera organisé le 26 septembre à 19h00

    6:30 – 8:30

    Petit-déjeuner

    8:30 – 9:45

    PLENARY (KIBO ROOM)

    Grounding Ourselves: In Conversation with Grace Scorey, Maimuna Kanyamala and Pontso Mafethe

    Bridging Contexts: Welcome & Overview, In conversation with Carla Lopez, Alexandra Garita, Laura Garcia and Terry Odenhal

    PLENARY (KIBO ROOM)

    Grounding Ourselves: In Conversation with Grace Scorey, Maimuna Kanyamala and Pontso Mafethe

    Bridging Contexts: Welcome & Overview, In conversation with Carla Lopez, Alexandra Garita, Laura Garcia and Terry Odenhal

    9:45  – 10:15

    Pause

    10:15 – 13:30

    PLENARY (KIBO ROOM) 

    Opening Panel Gender, Climate and Environmental Justice Movements: Perspectives from activists Asad Rehman, Noelene Nabulivou, Maria Matui

    Transition to 

    BREAKOUT THEMES WORKING GROUPS

    1. Defense of the Commons (Lake Victoria room)
    2. Food Sovereignty (Kibo/Plenary room)
    3. Energy Transition (Lake Tanganyika room)
    4. Climate Financing (Zanzibar room
    5. Caring and Interdependence (Kibo/Plenary room)

    Connecting with each other, developing a collective understanding of each theme and where we locate ourselves in the same.

    13.30-15:00 

    Déjeuner 

    15:00 – 16:30

    Identifying gaps and key priority areas in each theme 

     

    BREAKOUT THEMES WORKING GROUPS

     

    1. Defense of the Commons (Lake Victoria room)
    2. Food Sovereignty (Kibo/Plenary room)
    3. Energy Transition (Lake Tanganyika room)
    4. Climate Financing (Zanzibar room)
    5. Caring and Interdependence (Kibo/Plenary room)

     

    Closing (In breakout groups)

    16:00 – 16:30

    16:30 -17:00

    17:00 – 17:30 

    Pause

    17:30 – 18:00 

    Free

    18:00 – 19:00

    Comité de rédaction

    19:00- 20:30

    Dîner

    6:30 – 8:30 am

    Petit-déjeuner

    8:30 – 11:00 am

    PLENARY (KIBO ROOM)

     

    Lightning Talk: Show me the money! Funding at the intersection of climate justice

     

    Weaving Strategies with the Drafting Committee: Insights from Day 1

    Learning as Regions: 

    Articulating needs and possibilities for collaborations. 

    (An opportunity to network)

     

    11:00  – 11:30

    Pause

    11:30 – 13:30

    BREAKOUT THEMES WORKING GROUPS

     

    1. Defense of the Commons (Lake Victoria room)
    2. Food Sovereignty (Kibo/Plenary room)
    3. Energy Transition (Lake Tanganyika room)
    4. Climate Financing (Zanzibar room)
    5. Caring and Interdependence (Kibo/Plenary room)

     

    Identifying possible actions within each Theme.

    13.30-15:00

    Déjeuner 

    15:00 – 16:00

    BREAKOUT THEMES WORKING GROUPS

     

    Defense of the commons (Lake Victoria room)

    Food sovereignty (Kibo/Plenary room)

    Energy Transition (Lake Tanganyika room)

    Climate Financing (Zanzibar room)

    Caring and Interdependence (Kibo/Plenary room)

     

    Continued- Articulating actions)

     

     

     

    16:00 -16:30

    Pause 

    16:30 – 18:00 

    PLENARY (KIBO ROOM)

    Building political solidarity across the global south: In conversation with our Co-Chairs

     

    18:00 – 19:00

    Comité de rédaction

    19:00- 20:30

    Dîner

    6:30 – 8:30 am

    Petit-déjeuner

    9:00 – 10:30

    PLENARY (KIBO ROOM)

    Gender, Climate, and Environmental Justice: Perspectives and Politics from the Global South (Astrid  Puentes, Jayson Porter, Maureen Penjueli, Hilda Nakabuye)

    Building political solidarity across the Global South (continued)

    10:30  – 11:00

    Pause 

    11:00 – 13:30

    Building political solidarity across the Global South (continued) 

    • Communique 
    • Greenhouse: Opportunities for Networking and Collaboration

    13.30-15:00

    Déjeuner 

    15:00 – 17:00

    Building political solidarity across the Global South (continued) 

    • Communique 
    • Greenhouse: Opportunities for Networking and Collaboration

    17:00 – 17:30

    Pause

    17:30 -18:00

    Celebration!

     

    18:00 – 19:00 

    Free

      

    19:00- 20:30

    Cocktail/ Dîner


    Speakers per day

    6:30 – 8:30 am Grounding Ourselves: In conversations with Maimuna and Grace
    Grace Scorey Grace Scorey is a passionate advocate for women’s rights and empowerment, with a focus on pastoral communities and women around the world. Growing up in a polygamous family, she witnessed firsthand the marginalization and struggles faced by women in such environments. Determined to change the narrative and uplift women, she pursued a degree in Social Work and Administration, which laid the foundation for her career as a dedicated social worker. Her journey led her to become actively involved in the Pastoral Women Council (PWC) organization as a project coordinator, where she found a platform to amplify voices and address the needs of women in pastoral communities. Through her work, she aims to challenge societal norms and advocate for policies that promote gender equality, and access to education, healthcare, and economic opportunities for women. With her background and unwavering commitment, she embodies resilience and determination in her mission to create a more inclusive and equitable society for women.
    Maimuna Kanyamala  Maimuna Kanyamala is a dedicated Tanzanian activist, entrepreneur, environmentalist, and feminist with over 30 years of experience advancing the rights of women, girls, children, and marginalized communities. As co-founder of Kivulini Women’s Rights Organization and founder of MikonoYetu, she has mobilized thousands to prevent gender-based violence and empowered women through economic initiatives that tackle climate change, particularly in rural areas. Recognized as a “Woman of Courage” by the U.S. Embassy in Tanzania, Maimuna has built global solidarity on issues such as gender-based violence, HIV/AIDS, and poverty. She also co-founded GreenMinds, a youth-led project promoting sustainable leadership, and currently serves as an advisor for Global Greengrants Fund, driving intergenerational efforts to address climate change.
    Pontso Mafethe Pontso Mafethe is the Vice President of Programs at Global Greengrants Fund. She was previously with African Women’s Development Fund, where she served as Director of Programmes. Her career also includes roles with ActionAid, Comic Relief, International Planned Parenthood Federation, and the International Union for the Conservation of Nature. Additionally, she has been recognized as one of the BBC 100 Women and is actively involved in various leadership and advisory roles within the development and social justice sectors; she is a member of Steering Committees for The Red Umbrella Fund and The Girl Generation. Pontso is currently Chair of the Programmes Committee and Board member of EMpower – The Emerging Markets Foundation Count – and Chair of the International Development Committee of the Baring Foundation. She is also a member of the Equality Fund Global Advisory Panel and the Human Rights Funders Network Global Racial Justice Advisory Network.
    13.30-15:00 Opening welcome Speakers: Laura García, Alexandra Garita, Carla López, Terry Odendhal Moderator: Pontso Mafethe
    Laura García Laura García is the President and CEO of Global Greengrants Fund. Laura is a Mexican feminist who has advocated for human rights, social justice, and civil society throughout her career. Before joining Global Greengrants, Laura served for seven years as the Executive Director of Fondo Semillas, a Mexican nonprofit organization that finances grassroots organizations to achieve gender equality. Laura has vast experience in grassroots philanthropy, human rights, and movements for social justice, and she has co-created networks to promote community philanthropy in the Global South. She holds a Master’s Degree in International Peace and Security, from King’s College, London. She currently serves on the boards of Oxfam Mexico, Co-Impact, and the Global Fund for Community Foundations. Laura García is the President and CEO of Global Greengrants Fund. Laura is a Mexican feminist who has advocated for human rights, social justice, and civil society throughout her career. Before joining Global Greengrants, Laura served for seven years as the Executive Director of Fondo Semillas, a Mexican nonprofit organization that finances grassroots organizations to achieve gender equality. Laura has vast experience in grassroots philanthropy, human rights, and movements for social justice, and she has co-created networks to promote community philanthropy in the Global South. She holds a Master’s Degree in International Peace and Security, from King’s College, London. She currently serves on the boards of Oxfam Mexico, Co-Impact, and the Global Fund for Community Foundations.
    Alexandra Garita Alexandra Garita is the Executive Director of Prospera, Intnernational Netwoerk of Womens Fund. Before becoming Executive Director in 2020, Alex served as Deputy Director for three years, implementing Prospera’s current programs, consolidating the team, and influencing philanthropy to invest in more democratic ways within the women’s funding ecosystem. Previously, she worked as Advisor at the Simone de Beauvoir Leadership Institute in Mexico and was founder and President of the Board of Equis: Justice for Women. She previously founded and coordinated the feminist alliance Realizing Sexual and Reproductive Justice (RESURJ) for five years. Prior, Alex worked as Senior Program Officer, International Policy, with the International Women’s Health Coalition, led the international advocacy program at IPPF/Western Hemisphere Region and was the Mexico Program Officer at ARTICLE 19, The Global Campaign for Free Expression. An activist committed to advancing women’s human rights, Alex formed part of Decidir (Choice: Youth Coalition for Sexual Citizenship), where she protested, wrote, and advocated for young people’s rights to safe and legal abortion in Mexico City prior to the liberalization of the law. Alex has also worked at the Mexican Office of the United Nations High Commissioner for Human Rights and with the Mexican Council on Foreign Relations. She is a member of the Editorial Board of Reproductive Health Matters and holds a B.A. in International Relations from Boston University and an M.A. in the Theory and Practice of Human Rights from Essex University.
    Carla López C. Carla López C. is the Executive Director of the Fondo Centroamericano de Mujeres (FCAM)
    Terry Odendahl Terry Odendahl has spent more than 50 years bridging the gap between our natural and human worlds. She is the retired President and CEO of Global Greengrants Fund, where she served for over a decade. An anthropologist by training, Terry has held faculty positions at Georgetown University’s Public Policy Institute; the University of California, San Diego; and Yale University. She is the author or editor of four books: Charity Begins at Home: Generosity and Self-Interest Among the Philanthropic Elite; America’s Wealthy and the Future of Foundations; Women and Power in the Nonprofit Sector; and Career Patterns in Philanthropy. She has published Op-Eds for The Guardian, EcoWatch, The Chronicle of Philanthropy, The New York Times, Alliance Magazine and other outlets. Terry helmed the National Network of Grantmakers in the 1990s, and worked as a program officer at the Wyss Foundation to protect public lands in the western United States in the early part of this century. Terry is co-founder of the Institute for Women’s Policy Research in Washington, D.C., and the Institute for Collaborative Change in New Mexico. In addition to 350, she currently serves on the board of Save the Colorado.
    Gender, Climate and Environmental Justice: Perspectives from movement activists Speakers: Xiye Bastida, Noelene Nabulivou, Maria Matui, Asad Rehman Moderator: Laura García
    Noelene Nabulivou Noelene Nabulivou is a Fijian and Pacific small island/large ocean lesbian feminist Indigenous activist and community organiser for over 40 years. She is a co-founder and executive director of Diverse Voices and Action (DIVA) for Equality that works in local to global spaces and processes since 2011 for Gender justice; Sexual rights, Social, Economic, Ecological and Climate Justice. DIVA is the Co-convenor of the Pacific LBQ Working Group, Convenor of Pacific Feminist SRHR Coalition; Pacific Feminist Community of Practice, Women Defend Commons Network. Noelene is CSO Co-Chair of the Pacific Gender Coordination Mechanism. She holds many social movement roles, and her life work is for liberation, ecological balance and justice, on all territories.Noelene lives and works from Nadi, Fiji and is a mother of a fierce, fun, neuro-diverse 6yo feminist.
    Maria Matui Maria Matui is one of the seven women who co-founded Women Action Towards Economic Development (WATED), initially focusing on land rights for women. This work revealed deeper issues like climate change and the need for climate financing. After three years of project implementation, Ms. Matui led a climate financing study that ultimately resulted in the formation of the Coalition for Gender and Climate Change Tanzania, which amplifies the voices of marginalized women and communities in climate discussions. Her commitment to collective advocacy also led to the establishment of the Feminist School of Leadership and Climate Change. Under her leadership, WATED now hosts the broader Climate Justice Movement, bringing together key actors to address climate justice in Tanzania. Ms. Matui continues to champion gender-responsive climate solutions and works to ensure that women, especially those from marginalized communities, are integral to shaping climate policies and financing. Her vision for a more equitable world drives progress in gender equality and sustainable development, crucial for tackling climate change and creating a fairer future.
    Asad Rehman Asad Rehman is the Executive Director of the radical labour movement charity War on Want that for 70 years has been fighting for worker’s rights, and for social and economic justice both in the UK and globally. Asad is a veteran campaigner and has over the last 40 years been a leading figure in various movements including the anti-racist movements of the 80’s, the anti-globalisation movement, the anti-war coalition and the global climate justice movement. His intersectional work on climate justice to link climate to the fight for economic and racial justice has been pivotal to framing the fight for a just, equitable and ecological transition. He currently helps coordinate a network of movements and frontline organisations around the call for a Global Green New Deal.
    TBDLightening Talk: Seeds for Harvest Report
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    TBD Le genre, le climat et la justice environnementale: Perspectives et politiques du Sud  Speakers: Astrid  Puentes, Maureen Penjueli, Hilda Flavia Nakabuye, Jayson Porter Moderator: Alexandra Garita
    Astrid Puentes Riaño Astrid Puentes Riaño has a Masters degree (LL.M.) in Comparative Law from the University of Florida and in Environmental Law from the University of the Basque Country, and a law degree from the Universidad de Los Andes in Bogota. Ms. Puentes teaches at the Berta Cáceres Environmental Justice Clinic at the Universidad Iberoamericana in Mexico City, Mexico, and has more than twenty years of experience on environmental law, human rights and climate change, and the intersection of these, with a perspective of climate justice, diversity, equity and inclusion. She has worked for and with communities, environmental defenders and Indigenous Peoples in Latin America, contributing to the protection of their rights and territory, including in Brazil, Colombia, Mexico and Peru. Ms. Puentes has also advised organizations including Franciscans International and Greenpeace International. She has also collaborated with the UN, including with the United Nations Human Rights Office in Mexico, the Special Rapporteur on Human Rights and Climate Change, the Special Rapporteur on Human Rights and the Environment. She served as co-executive director of the Interamerican Association for Environmental Defense (AIDA) from 2003 to August 2021. She has published several articles and lectured at the Human Rights Academy of the American University, Washington, D.C., and at the Diploma on Strategic Litigation and Tools for the Defense of Economic, Social, Cultural and Environmental Rights of the UNAM in Mexico, among others. She was selected as a Climate Parents Fellowship Fellow from July 2022 to June 2023 and is one of the founders of Moms for Climate in Mexico City.
    Maureen Penjueli Maureen Penjueli is the Co-Lead of the Pacific Network on Globalisation, a pioneering policy research and advocacy network focusing on supporting Pacific people’s right to political, economic and socio-cultural self-determination. Ms. Penjueli’s research and advocacy work revolves around the impacts of systemic and structural injustices on island nations in the region. She researches the climate emergency through the lens of deep-sea minerals and the just energy transition debate, debt and frontier-market-based climate financing mechanisms, customary land tenure, food sovereignty and oceans economy. Previously, she served on a number of boards including Greenpeace Australia-Pacific, Fiji Women’s Crisis Center, and Leadership Fiji. She is also currently an advisor to Nia Tero, and holds an environmental science degree from Griffith University, Brisbane, Australia.
    Hilda Flavia Nakabuye Hilda Flavia Nakabuye is the founder of Uganda’s chapter of Fridays for Future and she organized impactful demonstrations, mobilizing youth and advocating for policy reforms to mitigate the effects of climate change. In addition to her grassroots activism, Nakabuye has played a pivotal role in elevating climate discourse on the global stage. She has delivered powerful speeches at prominent events such as the United Nations Climate Change Conference (COP) and has been featured in numerous media outlets, amplifying her message of urgency and action.
    Jayson Maurice Porter   Jayson Maurice Porter is an environmental writer and historian, and a Presidential Postdoctoral Fellow in the Department of History at the University of Maryland, College Park. He is also an inaugural Black and Indigenous Climate Futures Faculty Fellow at the Harriet Tubman Department of Women, Gender, and Sexuality Studies. Jayson is from Philadelphia and was raised between Arizona and Mississippi, but he was born in Maryland like his great-grandmother Winona Spencer Lee (1909-2012), who, until the early 2000s, worked on family farm land near where their ancestors were enslaved on the state’s Eastern Shore. Inspired by his family histories in Maryland and his time in Arizona and Mississippi, Jayson’s research specializes in the environmental histories of agrarian revolution and land reform, agrochemicals and agribusiness, food systems and foodways, and Black and Indigenous ecologies in Mexico and the Americas. He is an editorial board member of the North American Congress for Latin America (NACLA) and Plant Perspectives: An Interdisciplinary Journal. Beyond academia, Jayson works to connect with other black environmental educators and design environmental-literacy programming, such as the Environmental Justice Freedom School he co-designs and co-facilitates with the Chicago Teachers Union (2023-2024). He is helping design climate action kits with the Institute at Brown for Environment and Society. As a board member of Rutgers University’s Black Ecological Lab, he helps lead EJ literacy workshops, field schools, and curricula that center Black-and-Indigenous-led climate-action strategies in Mississippi, where he went to high school and college, and across the US South.
    100 Actions Wall Analysis

    Presenter: Nisha Owen 

    Dr. Nisha Owen  Dr. Nisha Owen is the Executive Director of Global Greengrants Fund UK. Dr. Owen is a conservationist with almost two decades of experience championing locally-led efforts to value and conserve the natural world for the benefit of communities and future generations. She holds a PhD from the University of Leeds on human-wildlife conflict in south India, and her global and diverse conservation career spans two decades of implementation, management and oversight of a variety of conservation projects and interventions, and the training and capacity building of early and mid career conservationists. She played an integral role in the rapid establishment and growth of charitable foundation On the Edge, and at the Zoological Society of London, she significantly grew their flagship EDGE of Existence Programme. She also leads an IUCN group which engaged with the development of the Convention on Biological Diversity’s new Global Biodiversity Framework. Her global experience has provided a first-hand insight into the inequalities, challenges, and costs faced by grassroots efforts who are tackling pressing environmental and climate issues.

    FAQ externe

    En 2013, Prospera INWF et Global Greengrants Fund (GGF) ont formé une alliance pour rassembler les fonds environnementaux et les fonds de femmes, ainsi que les militant.e.s de la justice climatique et des droits des femmes. L'objectif était de partager des stratégies entre les mouvements et de construire des relations durables. Après une année de préparation, en 2014, nous avons organisé conjointement un sommet sur les femmes et le climat à Bali.


    Étant donné le dixième anniversaire du Sommet de Bali qui coïncide avec la XIIIe Biennale Prospera, le Sommet de 2024 sera consacré à la cartographie, à la galvanisation du soutien et à l'organisation des liens entre les groupes de financement, les agendas et les campagnes qui promeuvent le genre et la justice environnementale.

    Le sommet sur la justice climatique et la justice de genre aura lieu du 27 au 29 septembre 2024 à Dar es Salaam, en Tanzanie, à l’hôtel Hyatt Regency Dar es Salaam, The Kilimanjaro.

    Le sommet sur la justice climatique et de genre est un événement sur invitation uniquement. Si vous avez reçu une invitation et que vous ne pouvez pas y assister mais que vous souhaitez nommer quelqu'un d'autre, veuillez le coordonner avec l'organisation partenaire qui vous a invité (Prospera INWF, GGF, ou GAGGA). La date limite d'inscription est fixée au 30 juillet.
    Si vous avez reçu une invitation, vous pouvez vous inscrire au Sommet sur la justice climatique et la justice de genre en suivant le lien suivant avant le 30 juillet: https://airtable.com/appdgmmP3WTcEvdv1/pagKOUzpI9ey3xC4N/form

    Les frais d'inscription sont les suivants:

    1. Forfait Sommet 1: Frais d'inscription au Sommet + hébergement en chambre standard - 2 200 USD (+13% TVH pour les entités/résidents canadiens). Ce forfait comprend les repas pendant le Sommet* et un séjour de quatre nuits dans une chambre simple standard, du 26 au 30 septembre.

    2. Forfait Sommet 2: Frais d'inscription au Sommet + hébergement dans une chambre surclassée - 2 500 USD (+13% TVH pour les entités/résidents canadiens). Ce forfait comprend les repas pendant le Sommet* et un séjour de quatre nuits dans une chambre simple surclassée, du 26 au 30 septembre.
    3. Forfait Sommet 3: Frais d'inscription au Sommet sans hébergement - 750 USD (+13% TVH pour les entités/résidents canadiens). Ce forfait comprend les repas pendant le Sommet*, à l'exception du petit-déjeuner.

    * Les repas inclus dans l'événement commencent par le dîner du 26 septembre ; le petit-déjeuner, le déjeuner et le dîner des 27, 28 et 29 septembre ; et le petit-déjeuner du 30 septembre avant le départ.

    Non, si l'une des trois organisations hôtes vous parraine, vous n'avez pas à payer de frais d'inscription, qui comprennent l'hébergement et les repas pendant l'événement.

    Le parrainage comprend:

    • L'accueil à l'aéroport à l'arrivée le 25 ou le 26 septembre.
    • Hébergement à l'hôtel du 26 au 30 septembre.
    • Le dîner du 26 septembre, tous les repas des 27, 28 et 29 septembre et le petit-déjeuner du 30 septembre.
    • Si vous êtes également sponsorisé pour rester à la Biennale Prospera, l'hébergement et les repas du dîner du 30 septembre au petit déjeuner du 3 octobre sont également couverts.
    La garde d'enfants peut être disponible sur demande avant le 28 juillet.

    Vous trouverez des informations sur les conditions d'obtention des visas sur le site officiel du gouvernement tanzanien: https://visa.immigration.go.tz/guidelines

    Si vous avez besoin d'une lettre d'invitation, veuillez la demander lors de votre inscription ou en envoyant un courriel à: registration@prospera-inwf.org.

    Nous vous recommandons de consulter votre service de santé local pour obtenir des conseils en matière de santé avant de vous rendre en Tanzanie, en particulier si vous venez d'un pays où la fièvre jaune est endémique.

    Si vous arrivez le 25 ou le 26 septembre, un service de navette avec identification de l'événement sera disponible. Il est important que vous nous communiquiez votre billet d'avion le plus tôt possible afin que nous ayons les spécifications de votre voyage.

    Si vous arrivez avant le 25 septembre, veuillez réserver votre propre moyen de transport.

    Si vous avez besoin d'une aide supplémentaire concernant l'assurance maladie, les documents de voyage ou d'autres exigences, veuillez nous envoyer un courriel à l'adresse suivante: registration@prospera-inwf.orgavec pour objet «Cancellation Request» (demande d'annulation).

    Nous couvrons également une assurance maladie voyage. Si vous n’en avez pas déjà un, merci de nous le faire savoir avant le 5 septembre afin que nous puissions l’organiser.

    Toutes les demandes d'annulation doivent être soumises par écrit par courrier électronique à: registration@prospera-inwf.org avec pour objet « Demande d'annulation ».

    Délais d'annulation:

    • Jusqu'au 31 août: Remboursement intégral, moins les frais administratifs.
    • Après le 1er septembre: Aucun remboursement ne sera effectué.

     

    Substitutions: Si vous n'êtes pas en mesure de participer, vous pouvez envoyer un.e participant.e de vous remplacer sans frais supplémentaires. Les demandes de substitution doivent être soumises par écrit à: registration@prospera-inwf.org au moins une semaine avant la conférence.

    La propagation rapide d'une nouvelle souche virulente du virus M-pox à travers l'Afrique a incité l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) à [declare] le 14 août 2024, qu'il s'agissait à nouveau d'une urgence de santé publique de portée internationale. Les informations récentes sur le virus n'indiquent pas une préoccupation importante pour les participant.e.s au sommet, car les chiffres sont encore faibles par rapport à l'ensemble de la population. Les organisateurs du sommet suivent toutefois de près l'évolution de l'épidémie de variole M-pox et communiqueront des mises à jour si nécessaire. Au 20 août, un cas a été confirmé à la frontière de la Tanzanie ; jusqu'à présent, la plupart des cas font état d'une transmission par contact sexuel. L'OMS indique qu'il peut y avoir d'autres modes de transmission par contact physique ou étroit, ainsi que par exposition zoonotique. Consultez [this link] pour obtenir toutes les informations les plus récentes.

    Dans tous les cas, les organisateurs prennent toutes les mesures nécessaires pour garantir un environnement sûr pendant la conférence, notamment en désinfectant le matériel, en encourageant l'utilisation de masques. Cela n'empêche pas les participant.e.s d'appliquer les mesures supplémentaires qu'ils jugent appropriées pour leur propre sécurité et leur propre confort.